« Fabio Lopez lui-même, tout en affirmant une sensibilité qu’on pourrait qualifier de sombre, pour ce qu’on en connaît aujourd’hui, a su construire un très beau Molto sostenuto, sur une musique de Kabalevski, où un quatuor de danseurs dessine un parcours imaginaire aux résonances poétiques, et à la graphie parfois proche de celle d’un Balanchine. »
Jacqueline Thuilleux – Concertclassic, fév 2018